NOTRE AGENCE DE VOYAGES ET DE TOURISME À PUNO EST AUTORISÉE ET CERTIFIÉE PAR LA DIRECTION RÉGIONALE DE TOURISME. NOUS ORGANISONS DES VISITES, VOYAGES,TOURS AU LAC TITICACA : AUX ÎLES UROS,TAQUILE,AMANTANI,LLACHON ,AVEC UN MAXIMUN DE 6 PERSONNES DANS CHAQUE TOUR.

Nos tours au lac Titicaca se font en service privatif, cela veut dire qu’il n’y aura au maximum que 6 personnes pendant le circuit. Pour ces tours au lac Titikaka, aucune autre personne d’agences de voyage différentes de la notre ne nous rejoindra. Nous voyageons avec nos propres clients. D’autre part, si par exemple vous avez réservé la visite au lac Titicaca mais que le jour du départ nous n’avons pas d’autres clients que vous, nous n´annulons pas le départ et le prix ne change pas.
Dans cette découverte vous aurez un guide privé ainsi qu’un bateau privé avec + guide privé + capitan privé.

« Pablo Tour » est un tour opérateur péruvien aussi dans la Region de Puno qui est spécialisé en voyages tourisme culturel, écologique et d’aventure. Nos agences se trouvent en Amérique du Sud – Pérou, dans la ville d’Arequipa, Calle Jerusalén 400, téléphone 51-941414048 et e-mail: pablotour@hotmail.com Et aussi à la ville de Puno.

Nous avons notre répresentant à la ville de Puno.

Nous proposons divers parcours et visites à la région de Puno.

La région de Puno compte approximativement 1 million 300 mille personnes.

Puno n’est pas réputé pour sa grande gastronomie, la restauration en général est modeste cependant, nous recommandons de manger truites sauvages et pejerreyes

Normalement, dans chaque hôtel 3 étoiles, sont servis au petit-déjeuner des céréales des Andes appelés quinoa. Ces céréales sont aussi consommées comme du ris ou de la salade. Le quinoa contient plus de protéines que la viande et ne fait pas grossir. Les péruviens pensent que le quinoa sera un jour un remède contre la faim dans le monde, comme le fût la pomme de terre après la seconde guerre mondiale.

Le lac Titicaca, considéré comme le lac navigable le plus haut du monde, se trouve à la frontière du Pérou et de la Bolivie. Ce lac se situeà une altitude de 3800 m, sur sa surface de 8560 km2, il y a de nombreuses îles (36), péninsules, et aussi les fameuses îles flottantes Uros (environ 40 îles).

Outre le castillan, les langues parlées dans la ville de Puno sont l’Aymara et le Quechua.

L’une des caractéristiques de la région est que les gens, surtout les femmes, portent des vêtements typiques avec faltas et chapeau traditionnel que les français appellent chapeau melon.

La fierté des Puneños est la grande fête religieuse de la virgen de la candelaria appelé par les locaux Mamacha de la candelaria. Pendant cette fête qui se passe tous les ans en février avec le point culminant le 2 fèvrier, la population de Puno se livre avec ferveur et beaucoup de croyance à cette manifestation qu’ils fêtent pendant 18 jours avec plus de 200 danses distinctes, remerciant ainsi les différents miracles réalisés par cette vierge miraculeuse. Cette fête est considérée comme un pélerinage et la pénitence se reflète pendant les interminables danses jusqu’à avoir des ampoules aux pieds, voire parfois les pieds en sang. C’est ainsi que l’on demande ou remercie un miracle.

Distance entre Puno et Cusco : 416 km

Bienvenus sur l’altiplano péruvien et le lac Titicaca. Bienvenus au Pérou profond.

Principales atraits touristiques à Puno :

Le lac Titicaca : c’est le lac navegable le plus haut du monde, ici on peut visiter différentes îles comme les îles flottantes des Uros, les îles de Taquile et Amantani, et du côté bolivien l’île du soleil et l’île de la lune. Ce lac, d’une profondeur maximale de 227 m, héberge 60 variétés d’oiseaux, 14 de poissons, 18 d’amphibiens et une grenouille gigantesque qui peut peser 3 kg et respire par la peau.

Dans le lac, on peut aussi trouver des vestiges archéologiques, murs et constructions appartenant aux anciennes cultures du Pérou. En 1978, le lac Titicaca a été déclaré réserve nationale.

Les îles flottantes des Uros : il existe environ 40 îles faites de totora, sorte de joncs initialement utilisés par les Uros (population de ces îles). La continuation de ces habitudes fait qu’il existe encore ces îles, cependant, le doute persiste sur le fait que les habitants actuels y soit originaires.

Actuellement, seules quelques îles bénéficient du tourisme pour lequel ils vendent des produits artisanaux. Et celles qui ne reçoivent pas de touristes sont dédiées à la pêche et la vente de poissons.

L’île de Taquile : cette île est la plus connue par sa façon de vivre, les hommes y portent des bonnets différents permettant de différencier les célibataires des mariés. Il y existe un système de travail communal très intéressant et surtout une production de textiles et vente publique où les gains sont directement redistribués aux producteurs.

Sur cette île, on respire réellement l’air pur avec une vue privilégié à mesure que l’on monte jusqu’à la place principale. Actuellement il existe des chambres chez l’habitant pour les touristes.

Ile Amantani : très ressemblante à l’île de Taquile,  nous pourrons y rencontrer sur la partie la plus haute des vestiges archéologiques (petits) où l’on pratique certaines cérémonies.

Las chullpas de Sillustani : on les rencontre à 34 km de la ville de Puno. Cette nécropole se situe au sommet d’une péninsule à 3900 m d’altitude. On peut y voir des tombes funéraires de forme cylindrique appartenant à la période pré-Inca et Inca. La particularité de ce site est que l’on peut y voir des constructions circulaires (tours circulaires) et constructions souterraines. Un bon lieu pour écouter parler les guides locaux proches des aspects magiques religieux du Pérou antique.

Ile Suasi : En comparaison des îles de Taquile ou Amantani, sur cette île il n’y a pas de populatin locale, seulement un hôtel de luxe appelé Suasi, actuellement administré par la chaîne d’hôtel casa Andina. Comme sur Taquile ou Amantani, on peut y voir beaucoup de nature.

Péninsule de Capachica/Llachón : située à 62 km au nord-est de la ville de Puno, on y trouve des maisons typiques avec toit de paille où l’on peut dormir, au pied du lac à 3800 m d’altitude. La valeur ajoutée de cette communauté est qu’ils savent comment expliquer de façon fière et intelligente leur culture : par exemple les maisons dans lesquelles dorment les touristes sont typiques du sol au plancher. Les personnes vivant sur cette péninsule sont conscientes que le tourisme peut leur être profitable et ainsi mettent en avant leur culture dès qu’un visiteur arrive, jusqu’à son départ.